Bon, visiblement, mes critiques n'étaient pas assez explicites (c'était mes premières, j'espère que je m'améliorerai avec le temps).
Donc je vais essayer d'être plus clair : allez voir Lantana et L'Auberge Espagnole, vous ne le regretterez pas !
Tuesday, September 3, 2002
Lantana, L'auberge espagnole - suite
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Sunday, September 1, 2002
Lantana - L'auberge espagnole
Cet après-midi fut un après-midi cinéphile : deux tartines au jambon de Bayonne, fromages italiens rapés et salade au resto Partie de Campagne (excellent au demeurant), puis deux films d'affilé (il n'y a pas à dire, pouvoir récupérer les places qu'on a réservé sur Internet, sans faire la queue, c'est le pied ...) au CinéCité Bercy.
Tout d'abord Lantana : un polar psychologique où tout le plaisir du film se situe plus dans l'ambiance que dans l'intrigue elle-même (qui sert juste de fil rouge, rien de plus).. Et je dois dire que tout le long du film, je me suis demandé au c'est sensé se passer (je n'avais lu aucune critique du film, juste l'avis de la rédaction de MonsieurCinema.com)... On se demande si c'est en Floride ou dans les îles (le climat est pesant, on entend les grillons tout le temps). Et puis, on s'apercoit que les protagonistes conduisent à gauche !! Et bien, finalement, tout se passe en Australie, à Sydney (j'ai attendu le générique pour le savoir..). A noter Anthony LaPaglia dans le rôle du flic, qu'on peut voir actuellement sur Serie Club, dans Murder One.
Passons au deuxième film, L'Auberge Espagnole, une comédie de Cédric Klapisch : l'histoire d'un jeune étudiant, Romain, qui part
un an à Barcelone dans le cadre du programme d'échange universitaire Erasmus. Il va se retrouver, après quelques péripéties,
dans un appartement en colocation avec d'autres étudiants Erasmus en provenance des différents coins de l'Europe. Dès le départ, on
comprend que la narration et la réalisation ne seront pas "classiques" :
j'ai eu un peu peur au niveau du générique mais mes craintes étaient totalement infondées et finalement, on ressort de la projection bien plus joyeux que lorsqu'on est rentré.
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